Dans le bois, « l’essence précède toujours l’existence. »
D’une petite graine abandonnée par le vent ou plantée par l’homme naissent des colosses pourvoyeurs d ‘ombre et d’oxygène.
Le bois nous abrite, nous réchauffe, nous accompagne même dans notre tombe et nous interroge aussi sur la valeur du temps qui passe et nous
dépasse.
Libéré de ses propres racines par le vent ou par la main cupide de l’homme, le bois entame une nouvelle existence. Choisi pour son essence, il va se consumer ou se consommer au gré de nos
besoins.
Parfois son destin le pousse à l’eau où il entame une nouvelle migration au gré des marées et des courants. Echoué sur la grève, il s’entasse et forme un dépôt de munitions pour le regard inspiré de l’artiste.
Choisi pour sa couleur, pour sa forme ou sa paréidolie, il entame une nouvelle Ren’essence….
Dans le bois, « l’essence précède toujours l’existence. »
D’une petite graine abandonnée par le vent ou plantée par l’homme naissent des colosses pourvoyeurs d ‘ombre et d’oxygène.
Le bois nous abrite, nous réchauffe, nous accompagne même dans notre tombe et nous interroge aussi sur la valeur du temps qui passe et nous
dépasse.
Libéré de ses propres racines par le vent ou par la main cupide de l’homme, le bois entame une nouvelle existence. Choisi pour son essence, il va se consumer ou se consommer au gré de nos
besoins.
Parfois son destin le pousse à l’eau où il entame une nouvelle migration au gré des marées et des courants. Echoué sur la grève, il s’entasse et forme un dépôt de munitions pour le regard inspiré de l’artiste.
Choisi pour sa couleur, pour sa forme ou sa paréidolie, il entame une nouvelle Ren’essence….